Des bons polars...

Lodger · 23 décembre 2011, 13:35

Je suis totalement obsessionnelle en ce moment avec les polars/thrillers et j'aimerai bien être orientée vers de nouveaux auteurs que je n'ai pas lu... Dès que j'ai le temps je vous ferai une liste de ce que j'ai lu en partie.

J'attends vos suggs

bump-squad · 23 décembre 2011, 13:51

je fais ces temps ci une fixette sur

Antoine Chainas : http://www.amazon.fr/s/ref=nb_sb_ss_c_1 ... ne+chainas
Dont les personnages rappellent un peu ceux de jean-Claude Izzo, en encore plus paumé et avec des nettes tendances à trainer dans des endroits glauques

DOA : http://www.amazon.fr/s/ref=nb_sb_ss_c_1 ... ywords=doa
specialiste des thrillers à connotation politique
Que tu ne peux ignorer si on en croit sa courte bio selon son editeur

DOA (Dead on Arrival) est romancier et scénariste. (...). Lecteur compulsif sur le tard, il aime le cinéma, la BD, David Bowie, la musique électronique et apprécie également la cuisine, les bons vins, le Laphroaig et les Gran Panatelas.

Nevermind2b · 23 décembre 2011, 14:47

Je te conseille, dans les contemporains, Georges Pelecanos, Frédéric H. Fajardie, Herbert Lieberman, Thierry Jonquet, Gunnar Staalesen, Jean Bernard Pouy, Montalban… La collection Rivages Noirs en général. Les premiers Dantec (La Sirène Rouge et Les Racines du Mal). Izzo et sa trilogie marseillaise.

Dans les années 96-2002, J'ai bien kiffé Le Poulpe et son auteur différent à chaque titre, j'ai arrêté vers le numéro 250, ça s'essouflait…

Le japonais Edogawa, sorte de Simenon nippon par l'épure de l'écriture (et Simenon bien sûr).

Le mexicain Paco Ignacio Taïbo II, pas à proprement dit du polar/thriller, plutôt du roman "noir" à connotation politique et historique, foutraque, ça part dans tous les sens (dans tous les temps) et finit pourtant par retomber sur ses pattes, totalement génial… Mon favori, La Bicyclette de Léonard.

Chez les anciens : James Hadley Chase, Raymond Chandler, Peter Cheyney, Ed McBain, Chester Himes, José Giovanni (Le Deuxième Souffle, miam !), Auguste Le Breton, Dashiell Hammet, Albert Simonin…

Le grand Léo Malet et son Nestor Burma.

Je viens de découvrir San Antonio,des premiers juqu'à 1970, j'adore totalement, c'est barré et savoureux, les trouvailles de langage sont incroyables, c'est terriblement addictif, je m'en fais 3-4 par mois, faut dire que ça se lit vite.

Depuis 3-4 ans, je me suis fixé comme pari de lire les milles premiers titres de la Série Noire (Gallimard), je dois être à près de 200. Il y a peu de déchets, j'ai seulement du mal avec Antoine Dominique et son Gorille…

On est ici plus dans le polar que le thriller. J'espère t'avoir éclairé, même si j'en ai cité beaucoup…

Blogs sur l'univers du polar :
http://moisson-noire.over-blog.com/
http://hanniballelecteur.over-blog.com

Gaspard Elliott · 23 décembre 2011, 16:22

Mon auteur de polar préféré est James Ellroy, surtout L.A. Confidential (infiniment plus riche et complexe que le film du même nom). Sanctuaire de Faulkner est également un must.
Ah pardon, vous parliez des polards, ces étudiants obsédés par le travail qui ne s'intéressent qu'à leurs études. Désolé pour le HS.

benito · 23 décembre 2011, 16:31

Ne connaissant pas du tout, un jour ça m'a tenté.
J'ai commencé par sa première enquête Etude En Rouge, j'ai adoré et j'ai absolument tout lu depuis des enquêtes de Sherlock Holmes.
Le personnage de cocaïnomane abattu et déprimé par l'humanité dès qu'il n'a pas une affaire à se mettre sous la dent ; le fait que le lecteur ne voit et ne sache que ce que le Dr Watson voit et sait (c'est le narrateur exclusif de toutes les enquêtes - sauf une), le rituel entourant chaque nouvelle histoire évoquant des séries britanniques type Avengers (où chaque épisode débute et se conclut de la même manière) ; la méthodologie imparable de Sherlock Holmes : tout concourt à rendre pour moi cet univers original, cohérent et très addictif.

A part ça je reconnais que le polard

ou le thriller sont des genres qui a priori ne m'attirent pas.
Petite exception à l'époque pour Les Racines du Mal et Babylone Babies de Dantec, finalement très grandiloquents pour pas grand chose avec le recul.

topaz · 23 décembre 2011, 20:23

The Blonde Duane Swierczynski

Un soir au bar d'un aéroport, Jack Eisley discute avec une jolie blonde, bien innocemment... Enfin, jusqu'au moment où elle lui glisse : "j'ai mis du poison dans votre verre." Jack la catalogue parmi les folles et s'en va. Une heure plus tard, conformément aux promesses de la blonde, il commence à se sentir mal. Il n'a plus le choix, il doit la retrouver ! Avec dans la tête cette angoissante question : mais enfin, qu'est-ce qu'elle me veut, celle-là ?

27 décembre 2011, 16:57

Il y a tant d'excellents livres à lire dans le genre. Voici une sélection de mon panthéon personnel avec des auteurs cultes et des écrivains maudits:

Return Of the Bump Squad · 28 décembre 2011, 15:47

la triologie de maxime Chattam que je viens de terminer, chaque bouquin peut être lu sans les autres..
c'est plutôt du genre thriller/sf assez sanguinaire

l'ame du mal
in tenebris
maléfices

le syndrome E de Franck Thilliez

Un film mystérieux et malsain qui rend aveugle… Voilà de quoi gâcher les vacances de Lucie Henebelle, lieutenant de police à Lille, et de ses deux adorables jumelles. Cinq cadavres retrouvés atrocement mutilés, le crâne scié… Il n’en fallait pas plus à la Criminelle pour rappeler le commissaire Franck Sharko en congé forcé pour soigner ses crises de schizophrénie. Deux pistes pour une seule et même affaire qui va réunir Henebelle et Sharko, si différents et pourtant si proches dans leur conception du métier. Des bidonvilles du Caire aux orphelinats du Canada des années cinquante, les deux nouveaux équipiers vont mettre le doigt sur un mal inconnu, d’une réalité effrayante et qui révèle que nous pourrions tous commettre le pire. Car aujourd’hui, ceux qui ne connaissent pas le syndrome E, ne savent pas encore de quoi ils sont capables…

Mon avis
Lucie Henebelle et Franck Sharko. Deux anthologies de Thilliez qui se rejoignent sous la plume de l’auteur dans ce huitième roman. Deux enquêtes pour le moins étranges qui vont lentement se rapprocher.
Dès la lecture du titre, une question nous brûle les lèvres: qu’est ce donc que ce fameux syndrome E? On attaque les premières lignes et on découvre un étrange film qui rend aveugle. Immédiatement, on sent venir quelque-chose de mystérieux, de dérangeant. Alors on tourne les pages, l’histoire avance et avec elle le mystère s’amplifie, les enquêtes se jalonnent avec un rapport à priori invraisemblable. Et pourtant… Lentement, le lien se tisse. L’intrigue se creuse. On sent arriver quelque-chose d’énorme, qui défie les limites de l’imagination. On veut savoir, on en re-demande. Et soudain, on se rend compte que l’on est pris au piège. L’auteur à réussi son coup et nous a rendu accroc. Impossible de lâcher son livre avant de comprendre le fin mot de l’histoire. Alors on avale les mots, on tourne les pages jusqu’à la dernière jusqu’à cette chute que l’on attendait, cette fin spectaculaire, celle-là même qui nous conforte dans l’idée que ce livre est un bijou.
Une perle donc. Pour qui aime les thrillers bien évidemment. Le rythme est soutenu, les éléments de l’intrigue sont distillés au compte goutte. Comme bien souvent, Thilliez joue avec les ambiances comme avec des personnages qui vivent et enrichissent l’histoire. Une fois de plus, science et innovations médicales lui servent de toile de fond pour dépeindre ce récit grandiose et machiavélique, premier tome d’un diptyque dont la suite (Gataca) paraîtra en Avril 2011

Return Of the Bump Squad · 28 décembre 2011, 15:51

et tous les Dean Koontz, genre thriller/sf aussi

Lovesexy · 28 décembre 2011, 17:14

Return Of the Bump Squad a écrit : le syndrome E de Franck Thilliez

"Dès la lecture du titre, une question nous brûle les lèvres: qu’est ce donc que ce fameux syndrome E? On attaque les premières lignes et on découvre un étrange film qui rend aveugle".

Le Thilliez, par cet aspect, m'a rappelé l'incroyable

PRIME_BBCODE_SPOILER_SHOW PRIME_BBCODE_SPOILER:

À l’aube des années 1960, Jonathan Gates, un jeune californien passionné de cinéma — plus cinéphile que réellement critique — fréquente assidûment le « classic », une salle de cinéma plutôt modeste au cœur de Los Angeles, réputée pour la promotion de l’image intellectuelle du septième art. Cette salle est tenue par une cinéphile influente doublée d’une critique avisée : Clarissa Swan, alias Clare.

Devenu à la fois son amant et son élève, Jonathan acquiert auprès de Clare les bases d’un bon esprit critique sur le cinéma — classique ou série B. C’est par son intermédiaire qu’il découvre un inconnu : un certain Max Castle. Réalisateur allemand de l’époque du muet réputé génial et promis à un bel avenir sur le Nouveau Monde, il se cantonne aux films de série B d’horreur tels que Docteur zombie ou Le Festin des morts vivants. Après nombre de recherches infructueuses, le couple arrive à mettre la main sur un inédit remarquable. Ce qu’ils découvrent leur apparaît à la fois consternant et étrangement malsain. Ils entrent alors en contact avec Zip Lipsky, nain et caméraman hors pair de Castle à l’époque où celui-ci tournait en amérique. Ce dernier leur permet de voir sa collection de films originaux en version non censurée.

Jonathan est interloqué par le sentiment étrange et répugnant que la vision de l’œuvre de Castle lui procure. Touchée elle aussi par les films de Castle, Clare n’en persiste pas moins à les trouver sans intérêt.

Jonathan Gates se lance dans une quête personnelle et entreprend seul une enquête sur le réalisateur, afin de comprendre le mystère qui entoure chacun de ses films. Il découvre au fil de ses pérégrinations que certains des associés du cinéaste le considéraient comme un génie, au même titre que Fritz Lang ou Georges Méliès. Il découvrira surtout que certains passages renferment en eux d’autres images, subliminales, particulièrement élaborées. C’est à l’aide d’un étrange appareil, « le Sallyrand », récupéré durant ses investigations, que Gates commence à percer le secret des films de Castle. L’obsession de Jonathan le conduit à la rencontre d’une étrange religion, bien plus ancienne que le catholicisme, et bien éloignée du cinéma.

Ce roman précurseur évoquera sans nul doute aux amateurs de films fantastiques le superbe Cigarets Burnsde John Carpenter, issu de la série des « Masters of Horrors », dans lequel il est aussi question de cinéma et de religion.

Le lecteur suit le cinéma d’après-guerre ainsi que la naissance du concept de film d’auteur au travers des yeux de Clare au début du roman. Il découvre ensuite les classiques tels que Citizen Kane, puis aborde le cinéma français et Jean-Paul Belmondo — et vogue pour terminer avec le cinéma B du fantastique et de l’horreur mis en exergue par ce que l’on appelle les « nanars ». C’est grâce à cette énorme culture que le roman de Roszak s’éloigne des romans conspirationnistes actuels (le Da Vinci Code, par exemple). Il se distingue surtout par la vingtaine d’années de travail et de documentation rassemblés par l’auteur avant de se mettre à l’ouvrage et mêle sa fiction à l’histoire officielle du cinéma, poussant le plaisir jusqu’à nous faire croire à une réelle existence de Castle et de ses films.

Un livre passionnant pour les amoureux du Cinema...

Lovesexy · 28 décembre 2011, 17:18

Lodger, si tu pouvais nous en dire un peu plus vers le style de polar que tu aimes, ceux que tu as particulièrement apprécié... que l'ont puisse affiner nos proposition

Lovesexy · 28 décembre 2011, 19:22

Dans mon Panthéon perso, on trouvera :

- "Shadowman" et son second volet, "La mort en face" de Cody McFadyen, des situations très tendues avec des personnages très forts.

Pour les impatients comme moi, il y a deux autres volumes à lire en anglais jamais édités en français à ce jour.

- "Les Racines du mal" de Dantec, déjà cité plus haut.

- La trilogie du Mal de Maxime Chattam, également déjà citée plus haut, qui est vraiment un must pour moi. "L'âme du mal / In Tenebris / Maléfices"

- "La ligne noire" de J.C. Grangé. Peut être son meilleur. mon préféré en tout cas.

- Tout Franck THILLIEZ ! Je viens de terminer son dernier "Vertiges", qui est excellent et je recommande avec véhémence :
"L'anneau de Moebius" (même s'il lorgne un peu vers le fantastique)

"Lamorlaye, Oise.
Vous rêvez. Vous vous voyez courir dans votre maison, les mains en sang. La police vous recherche pour le meurtre d'une gamine que vous ne connaissez pas. Vous vous réveillez. Et vous comprenez que ces rêves sont votre futur. Vous, dans quelques jours…
Saint-Ouen, Seine-Saint-Denis.
Le corps mutilé d'une femme, enduit de vinaigre. Il semble avoir fait l'objet d'un rituel bien précis. Pour Victor Marchal, jeune lieutenant de police tout juste sorti de l'école, la descente aux enfers commence.
Aucune relation entre ces deux histoires, a priori. Et pourtant…"

ainsi que "La forêt des ombres" (qui n'est pas à proprement parler un polar, mais un thriller) et "La chambre des Morts" pour ceux qui ne l'ont pas encore lu ou qui n'ont pas vu le film...

- "L'homme du soir" et "Birdman" de Mo Hayder, qui ne font pas exactement dans la dentelle... "Tokyo", de la même Mo Hayder est un des thrillers les plus marquant que j'ai pu lire...

- dans la série des polars éprouvants (mais qu'on ne peut lacher une fois commencés), "La mue du serpent" de T. jefferson Parker : "Horridus horridus : c'est le nom savant du crotale, un des serpents les plus dangereux d'Amérique. C'est également le surnom que s'est choisi un psychopathe pédophile opérant depuis peu dans le comté d'Orange, en Californie. Il kidnappe ses petites victimes, les travestit et les relâche, sans les avoir touchées. Du moins pour l'instant... Hanté par la mort de son fils, Terry Naughton, chef de la Brigade des crimes contre mineurs, doit agir vite : se sentant talonné, l'insaisissable Horridus accélère le rythme de ses enlèvements. Et Terry sait, d'instinct, que la prochaine morsure de ce monstre tapi dans son repaire sera mortelle..."

- "Meutres pour rédemption" de Karine Giebel. Un pavé de 750 pages qui se dévore littéralement...
"Marianne, vingt ans. Les miradors comme unique perspective, les barreaux pour seul horizon. Perpétuité pour cette meurtrière. Une vie entière à écouter les grilles s ouvrir puis se refermer. Indomptable, incapable de maîtriser la violence qui est en elle, Marianne refuse de se soumettre, de se laisser briser par l univers carcéral sans pitié où elle affronte la haine, les coups, les humiliations. Aucun espoir de fuir cet enfer. Ou seulement dans ses rêves les plus fous. Elle qui s évade parfois, grâce à la drogue, aux livres, au bruit des trains. Grâce à l amitié et à la passion qui l atteignent en plein c ur de l enfermement. Pourtant, un jour, l inimaginable se produit. Une porte s ouvre. On lui propose une libération... conditionnelle. « La liberté Marianne, tu dois en rêver chaque jour, chaque minute, non ? » Oui. Mais le prix à payer est terrifiant. Pour elle qui n aspire qu à la rédemption... "

- "Un tueur si proche", la biographie du célèbre Ted Bundy, sous des allures de roman, par Ann Rule, qui l'a réellement connu. L'incroyable récit du parcours improbable du célèbre tueur en série est aussi passionnant qu'effrayant.
"Pour le meilleur et pour le pire, Ted Bundy a fait partie de ma vie pendant dix-huit ans. Ted le monstre. Le monstre-tueur-violeur. Celui-là même avec qui je passais des nuits à secourir des correspondants en détresse, des candidats au suicide. J'entends encore la patience et la sympathie qui perçaient dans sa voix. Je me rappelle la sollicitude avec laquelle il m'escortait jusqu'à ma voiture au petit matin, au cas où... Quand une vague de meurtres de jeunes filles ensanglanta le pays, j'eus droit, en tant qu'ancien membre de la police, à la primeur des informations. Et un beau jour, on m'annonça que les soupçons se portaient sur mon ami. Seule une preuve absolument irréfutable m'amena à accepter l'idée que cet homme était le plus épouvantable des tueurs en série qu'aient connu les États-Unis..."

- "Le chuchoteur" de Dino Carrisi.
"Cinq petites filles ont disparu.
Cinq petites fosses ont été creusées dans la clairière.
Au fond de chacune, un petit bras, le gauche.

Depuis qu’ils enquêtent sur les rapts des fillettes, le criminologue Goran Gavila et son équipe d’agents spéciaux ont l’impression d’être manipulés. Chaque découverte macabre, chaque indice les mènent à des assassins différents. La découverte d’un sixième bras, dans la clairière, appartenant à une victime inconnue, les convainc d’appeler en renfort Mila Vasquez, experte dans les affaires d’enlèvement. Dans le huis clos d’un appartement spartiate converti en QG, Gavila et ses agents vont échafauder une théorie à laquelle nul ne veut croire : tous les meurtres sont liés, le vrai coupable est ailleurs.
Quand on tue des enfants, Dieu se tait, et le diable murmure…

Un époustouflant thriller littéraire,
inspiré de faits réels".

Funk-U · 28 décembre 2011, 19:31

JP Manchette forever...

damnad · 05 janvier 2012, 20:29

Bonjour à tous

je suis en train de dévorer (en avant première) un excellent polar dont le titre est "la ville Rouge"
Ce polar sortira en février chez un nouvel éditeur dont je m'occupe

Le thème : Milan à la fin des années 70...la grande époque des braquages à la Mesrine

voici le lien: http://www.lesescales.fr/ouvrage/?EAN13=9782365690010

et c'est vraiment très très bon...

vous m'en direz des nouvelles !

2pie · 05 janvier 2012, 20:49

Je lis aussi pas mal de polars. J'accroche assez a DOA, un jeune français a l'univers assez noir et violent, son écriture est assez brute, descriptive.
J'adore aussi Fred Vargas, non pour le coté polar, les enquêtes ne sont pas géniales mais le style, l'humour les dialogues et les personnages valent vraiment le coup d'y jeter un oeil.

Lodger · 30 janvier 2012, 01:39

Suis dingue de Vargas moi aussi, je les ai tous (écriture et humour si savoureux)
Merci à tous je ne m'attendais pas à autant de réponses, vous êtes adorables. Comme le demande Lovesexy, dès demain je vous ferai une liste de ce que j'aime.
Jamais lu un Elroy, je sais pas pourquoi je bloque...
A très vite et encore merci