Petter Carlsen et son esprit tourmenté proche des plus grande déprime d'Anathema. Il n'y a pas à chercher de bons sentiments sur cet album. Tout n'est que tristesse et noirceur à un point qu'il est impossible de ne pas s'émouvoir. La beauté de cette tristesse réside en grande partie par la voix particulière de Petter. Celle d'un gamin encore innocent et pur qui découvre les méfaits de la vie dont le manque de justesse est compensé par une sincérité rarement égalée. Mais ne parler que de cette voix cristalline serait une injure pour le travail de Petter Carlsen sur cet album. Jamie Cavanagh pour le présenter avant ses concerts disaient de lui qu'il est « le nouveau Jeff Buckley ». Il disait cela bien entendu pour parler de ce talent pour composer des morceaux qui comme pour Katatonia ou Anathema, auront la particularité d'être des titres très profonds et très riches tout en restant des morceaux faciles d'accès. La durée de Clocks Don't Count va dans ce sens avec une quarantaine de minutes pour dix morceaux. Elle ne bride toutefois pas Petter Carlsen qui a le temps durant ces courtes chansons de placer des éléments surprenants de nos jours mais toujours opportuns avec violons, trompettes, mellotron, violoncelles ou pedal steel guitar.
Le new petit Jeff Buckley est la PETTER CARLSEN la claque !!
Petter CARLSEN: - Clocks Don't Count
Petter Carlsen et son esprit tourmenté proche des plus grande déprime d'Anathema. Il n'y a pas à chercher de bons sentiments sur cet album. Tout n'est que tristesse et noirceur à un point qu'il est impossible de ne pas s'émouvoir. La beauté de cette tristesse réside en grande partie par la voix particulière de Petter. Celle d'un gamin encore innocent et pur qui découvre les méfaits de la vie dont le manque de justesse est compensé par une sincérité rarement égalée. Mais ne parler que de cette voix cristalline serait une injure pour le travail de Petter Carlsen sur cet album. Jamie Cavanagh pour le présenter avant ses concerts disaient de lui qu'il est « le nouveau Jeff Buckley ». Il disait cela bien entendu pour parler de ce talent pour composer des morceaux qui comme pour Katatonia ou Anathema, auront la particularité d'être des titres très profonds et très riches tout en restant des morceaux faciles d'accès. La durée de Clocks Don't Count va dans ce sens avec une quarantaine de minutes pour dix morceaux. Elle ne bride toutefois pas Petter Carlsen qui a le temps durant ces courtes chansons de placer des éléments surprenants de nos jours mais toujours opportuns avec violons, trompettes, mellotron, violoncelles ou pedal steel guitar.
Petter Carlsen et son esprit tourmenté proche des plus grande déprime d'Anathema. Il n'y a pas à chercher de bons sentiments sur cet album. Tout n'est que tristesse et noirceur à un point qu'il est impossible de ne pas s'émouvoir. La beauté de cette tristesse réside en grande partie par la voix particulière de Petter. Celle d'un gamin encore innocent et pur qui découvre les méfaits de la vie dont le manque de justesse est compensé par une sincérité rarement égalée. Mais ne parler que de cette voix cristalline serait une injure pour le travail de Petter Carlsen sur cet album. Jamie Cavanagh pour le présenter avant ses concerts disaient de lui qu'il est « le nouveau Jeff Buckley ». Il disait cela bien entendu pour parler de ce talent pour composer des morceaux qui comme pour Katatonia ou Anathema, auront la particularité d'être des titres très profonds et très riches tout en restant des morceaux faciles d'accès. La durée de Clocks Don't Count va dans ce sens avec une quarantaine de minutes pour dix morceaux. Elle ne bride toutefois pas Petter Carlsen qui a le temps durant ces courtes chansons de placer des éléments surprenants de nos jours mais toujours opportuns avec violons, trompettes, mellotron, violoncelles ou pedal steel guitar.
La connerie c'est la décontraction de l'intelligence
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Diamond Dog
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- Enregistré le :07 juin 2010, 20:48
Merci pour la découverte.
Diamond Dog a écrit :Merci pour la découverte.
Allez j'enfonce le clou (je suis en train d'acheter toute sa production à ce gamin)
PETTER CARLSEN
1er album...version acoustique en studio
La connerie c'est la décontraction de l'intelligence