les disques Bien.
Les premières références de ce label sont l’album de Tante Hortense «mieux» et le mien «le revenu».
Bientôt notre site sera en ligne. Voici de quoi patienter.
Nous organisons une soirée de lancement le lundi 31 octobre à la Boule Noire à partir de 20 heures (120, bd Rochechouart, 75018 Paris, métro Pigalle). C’est gratuit et rendu possible par l’immense mansuétude de Seb Martel que je remercie au passage.
Flóp
Conscients du fait que le consommateur de musique devenait de plus en plus exigeant et averti, nous avons fondé les disques Bien pour satisfaire des besoins que l’industrie traditionnelle du disque ne parvenait plus à combler.
Notre but est d’apporter au public des disques de haute qualité technique et artistique à un prix extrêmement compétitif. Ainsi, notre démarche relève à la fois de l’artisanat et du hard discount.
Concernant la qualité technique, nous optons pour le support CD pressé, dont les performances en termes de dynamique et restitution des timbres (sous réserves d’un équipement décent) ne sont plus à démontrer. Le confort d’écoute de nos disques est par ailleurs testé sur de nombreux équipements hi-fi et affiné via un processus de masterisation pris en charge par notre ingénieur-maison.
La qualité artistique de nos produits est garantie par la subjectivité assumée du centre nodal des disques bien, omni décisionnaire, et la liberté artistique totale des artistes. En effet, seul l’artiste décide du contenu de son disque bien. Nous partons du principe que le mieux est l’ennemi du bien. Aucune pression n’est donc exercée sur nos artistes dans le but de leur faire « améliorer » leur oeuvre.
Afin de signaler cette qualité supérieure au public via une sémantique unitaire, nous avons confié la réalisation des pochettes, du site Internet et des divers supports promotionnels de ces disques à des artistes renommés et redoutés pour leur intransigeante faculté d’invention.
Enfin, nous sommes parvenus à comprimer nos coûts au point que nous puissions proposer ces produits de choix à des sommes risibles. Pour cela, nous avons supprimé certains intermédiaires nuisibles et parasitaires du secteur et exploitons une importante quantité de travailleurs bénévoles.
Nous sommes et serons sous-estimés par l’INSEE.
Nous contribuons à la chute de l’industrie du disque.
Nous en tirons certain orgueil.
(Pour plus de détails consultez notre règlement.)