INTERVIEW DE PRINCE DANS LE MONDE
Prince : "J'aime être le premier et le dernier à faire quelque chose"
http://www.lemonde.fr/culture/article/2 ... _3246.html
Après deux concerts donnés au Grand Palais, dimanche 11 octobre, à Paris (Le Monde du 13 octobre), Prince dit s'être endormi à l'aube en regardant le DVD de French Kiss, une comédie romantique avec Meg Ryan et Kevin Kline (1995). Lundi 12 octobre, vers 13 h 30, le chanteur, guitariste et producteur américain, 51 ans, reçoit pourtant dans le salon chinois de l'Hôtel Costes, dans le 1er arrondissement de Paris. Chapeau andalou noir et lunettes de soleil comme un masque, une redingote mauve épousant son buste fin, la star stylisée marche en s'appuyant sur une canne argentée (il semble souffrir d'un problème de hanche, boitillement remarqué par de nombreux spectateurs lors des concerts au Grand Palais). Avant une petite conférence de presse, Prince accorde au Monde vingt minutes d'un de ses très rares entretiens, à condition de ne pas l'enregistrer mais de prendre des notes. Il est souriant et presque affable.
Avez-vous apprécié vos concerts au Grand Palais ?
J'ai pris encore plus de plaisir au second concert. J'avais assisté au défilé Chanel (mardi 6 octobre), j'avais remarqué que les applaudissements et les vibrations du son semblaient monter le long de la verrière et redescendre sur vous. Je me suis mis à imaginer ce que donnerait un concert dans ce lieu. Lily Allen jouait au défilé Chanel. Je me suis dit que si Lily Allen donnait un concert, pourquoi pas moi ?
Depuis plusieurs années, vous cultivez l'art du concert surprise ou dans des cadres exceptionnels...
Je préfère désormais ces formes de concert à la tournée traditionnelle, qui ne me tente plus. J'aime être le premier et le dernier à faire quelque chose. Quand j'ai joué à Londres, en 2007, à la O2 Arena, j'ai demandé aux producteurs quel avait été le nombre record de spectacles joués à la suite dans leur salle. Ils m'ont répondu six. J'ai dit alors que je voulais en faire vingt et un. Pendant deux semaines, ils me l'ont refusé, personne n'y était resté aussi longtemps. Tous les concerts ont finalement été complets. Depuis, Michael Jackson m'a montré que j'aurais dû aller plus loin (Michael Jackson avait prévu de faire cinquante concerts dans cette salle, pour ce qui devait être son grand retour).
Avez-vous une relation particulière avec la ville de Paris ?
J'ai longtemps eu un appartement avenue Foch, mais trop de fans venaient au milieu de la nuit chanter des chansons que je n'interprète même plus. Paris est une ville très érotique, dans la façon dont ses rues sont disposées. Il y a toujours quelque chose à regarder. Certains monuments, la tour Eiffel ou l'obélisque de la Concorde, sont même clairement des symboles amoureux (rires). Pour moi, Paris est aussi la ville des arts, un symbole contre la tyrannie.
Vous donnez des concerts quand et où bon vous semble, vous publiez des enregistrements à votre convenance par l'intermédiaire de multinationales, de labels indépendants, via la vente par correspondance ou le téléchargement. On a l'impression que vous n'avez jamais été aussi libre comme artiste de scène et de studio. De quand date cette liberté ?
Cette liberté a toujours été là artistiquement. Dans ma façon, par exemple, de m'habiller dès mes débuts de façon étrange, pour ne pas être catalogué à cause de mes vêtements. J'utilisais d'ailleurs plus souvent ma peau que de vrais habits. Par contre, j'ai dû gagner ma liberté économique contre les maisons de disques.
A l'époque de Purple Rain, on m'avançait 1 million de dollars qu'on me reprenait sur les vidéos, la promotion, le packaging, la fabrication... A la fin, la maison de disques disait posséder l'album. Pendant des années, les artistes ont ainsi été arnaqués. Pas étonnant qu'autant aient terminé sans le sou. Il nous fallait céder nos droits à des gens qui n'étaient pour rien dans le processus créatif. Croyez-vous que c'est un patron de label qui inspirait Jimi Hendrix ?
Peut-on assimiler cette démarche à une démarche politique ?
Aux Etats-Unis, les médias sont contrôlés par l'Etat. On ne peut pas remettre l'Etat en question. C'est pour cela qu'il n'y a plus de musique politique depuis Woodstock et la grande époque de la musique soul engagée, née avec le mouvement des droits civiques. J'aurais aimé vivre à cette époque. Je n'ai pas eu cette chance, mais mes disques ont souvent suscité la controverse, en particulier par rapport à mon approche de la sexualité.
Si les artistes gagnent leur liberté, alors on pourra retrouver un nouvel âge d'or de la musique soul. Des gens de l'industrie et des journalistes ont mené une campagne contre moi, m'accusant d'être un rebelle purement égotiste, alors que l'enjeu est beaucoup plus grand. Ils ont aussi dit que je cherchais à m'éloigner du mainstream, alors que je suis en plein dedans. Regardez, mes billets de concert ne se sont jamais vendus aussi rapidement.
Cette liberté a-t-elle un prix ?
Si je suis pour la liberté en toute chose, il faut savoir aussi ne pas aller trop loin. C'est pour cela que j'appartiens aux Témoins de Jéhovah. Ils m'aident à équilibrer ma vie, à lui donner un sens et à avoir une vision du monde.
Lors de vos concerts au Grand Palais, vous avez repris une chanson des Jackson 5, "Shake Your Body to the Ground". C'était une forme d'hommage ?
Ma choriste Elisa Dease a le même timbre que Michael quand il était jeune. Et une bonne chanson reste une bonne chanson.
Qu'avez-vous ressenti à la mort de Michael Jackson ?
(Prince, visiblement, ne veut pas s'étendre sur le sujet.) On est toujours triste de perdre quelqu'un qu'on a aimé.
Propos recueillis par Stéphane Davet
http://www.lemonde.fr/culture/article/2 ... _3246.html
Après deux concerts donnés au Grand Palais, dimanche 11 octobre, à Paris (Le Monde du 13 octobre), Prince dit s'être endormi à l'aube en regardant le DVD de French Kiss, une comédie romantique avec Meg Ryan et Kevin Kline (1995). Lundi 12 octobre, vers 13 h 30, le chanteur, guitariste et producteur américain, 51 ans, reçoit pourtant dans le salon chinois de l'Hôtel Costes, dans le 1er arrondissement de Paris. Chapeau andalou noir et lunettes de soleil comme un masque, une redingote mauve épousant son buste fin, la star stylisée marche en s'appuyant sur une canne argentée (il semble souffrir d'un problème de hanche, boitillement remarqué par de nombreux spectateurs lors des concerts au Grand Palais). Avant une petite conférence de presse, Prince accorde au Monde vingt minutes d'un de ses très rares entretiens, à condition de ne pas l'enregistrer mais de prendre des notes. Il est souriant et presque affable.
Avez-vous apprécié vos concerts au Grand Palais ?
J'ai pris encore plus de plaisir au second concert. J'avais assisté au défilé Chanel (mardi 6 octobre), j'avais remarqué que les applaudissements et les vibrations du son semblaient monter le long de la verrière et redescendre sur vous. Je me suis mis à imaginer ce que donnerait un concert dans ce lieu. Lily Allen jouait au défilé Chanel. Je me suis dit que si Lily Allen donnait un concert, pourquoi pas moi ?
Depuis plusieurs années, vous cultivez l'art du concert surprise ou dans des cadres exceptionnels...
Je préfère désormais ces formes de concert à la tournée traditionnelle, qui ne me tente plus. J'aime être le premier et le dernier à faire quelque chose. Quand j'ai joué à Londres, en 2007, à la O2 Arena, j'ai demandé aux producteurs quel avait été le nombre record de spectacles joués à la suite dans leur salle. Ils m'ont répondu six. J'ai dit alors que je voulais en faire vingt et un. Pendant deux semaines, ils me l'ont refusé, personne n'y était resté aussi longtemps. Tous les concerts ont finalement été complets. Depuis, Michael Jackson m'a montré que j'aurais dû aller plus loin (Michael Jackson avait prévu de faire cinquante concerts dans cette salle, pour ce qui devait être son grand retour).
Avez-vous une relation particulière avec la ville de Paris ?
J'ai longtemps eu un appartement avenue Foch, mais trop de fans venaient au milieu de la nuit chanter des chansons que je n'interprète même plus. Paris est une ville très érotique, dans la façon dont ses rues sont disposées. Il y a toujours quelque chose à regarder. Certains monuments, la tour Eiffel ou l'obélisque de la Concorde, sont même clairement des symboles amoureux (rires). Pour moi, Paris est aussi la ville des arts, un symbole contre la tyrannie.
Vous donnez des concerts quand et où bon vous semble, vous publiez des enregistrements à votre convenance par l'intermédiaire de multinationales, de labels indépendants, via la vente par correspondance ou le téléchargement. On a l'impression que vous n'avez jamais été aussi libre comme artiste de scène et de studio. De quand date cette liberté ?
Cette liberté a toujours été là artistiquement. Dans ma façon, par exemple, de m'habiller dès mes débuts de façon étrange, pour ne pas être catalogué à cause de mes vêtements. J'utilisais d'ailleurs plus souvent ma peau que de vrais habits. Par contre, j'ai dû gagner ma liberté économique contre les maisons de disques.
A l'époque de Purple Rain, on m'avançait 1 million de dollars qu'on me reprenait sur les vidéos, la promotion, le packaging, la fabrication... A la fin, la maison de disques disait posséder l'album. Pendant des années, les artistes ont ainsi été arnaqués. Pas étonnant qu'autant aient terminé sans le sou. Il nous fallait céder nos droits à des gens qui n'étaient pour rien dans le processus créatif. Croyez-vous que c'est un patron de label qui inspirait Jimi Hendrix ?
Peut-on assimiler cette démarche à une démarche politique ?
Aux Etats-Unis, les médias sont contrôlés par l'Etat. On ne peut pas remettre l'Etat en question. C'est pour cela qu'il n'y a plus de musique politique depuis Woodstock et la grande époque de la musique soul engagée, née avec le mouvement des droits civiques. J'aurais aimé vivre à cette époque. Je n'ai pas eu cette chance, mais mes disques ont souvent suscité la controverse, en particulier par rapport à mon approche de la sexualité.
Si les artistes gagnent leur liberté, alors on pourra retrouver un nouvel âge d'or de la musique soul. Des gens de l'industrie et des journalistes ont mené une campagne contre moi, m'accusant d'être un rebelle purement égotiste, alors que l'enjeu est beaucoup plus grand. Ils ont aussi dit que je cherchais à m'éloigner du mainstream, alors que je suis en plein dedans. Regardez, mes billets de concert ne se sont jamais vendus aussi rapidement.
Cette liberté a-t-elle un prix ?
Si je suis pour la liberté en toute chose, il faut savoir aussi ne pas aller trop loin. C'est pour cela que j'appartiens aux Témoins de Jéhovah. Ils m'aident à équilibrer ma vie, à lui donner un sens et à avoir une vision du monde.
Lors de vos concerts au Grand Palais, vous avez repris une chanson des Jackson 5, "Shake Your Body to the Ground". C'était une forme d'hommage ?
Ma choriste Elisa Dease a le même timbre que Michael quand il était jeune. Et une bonne chanson reste une bonne chanson.
Qu'avez-vous ressenti à la mort de Michael Jackson ?
(Prince, visiblement, ne veut pas s'étendre sur le sujet.) On est toujours triste de perdre quelqu'un qu'on a aimé.
Propos recueillis par Stéphane Davet
Définitivement bon. Merci pour le lien.Peut-on assimiler cette démarche à une démarche politique ?
Aux Etats-Unis, les médias sont contrôlés par l'Etat. On ne peut pas remettre l'Etat en question. C'est pour cela qu'il n'y a plus de musique politique depuis Woodstock et la grande époque de la musique soul engagée, née avec le mouvement des droits civiques.
- FunkyDancer
- Official Member
- Messages : 828
- Enregistré le : 25 décembre 2008, 21:26
- Localisation : Dream Factory
Très bonne interview. Merci beaucoup!
- maluali2006
- Official Member
- Messages : 266
- Enregistré le : 08 octobre 2009, 12:27
- fan depuis : 1984
- Localisation : Lille
Super ! Merci pour cette info. Je vous envie vous les parisiens : vous avez Prince à porter de main... Et c'est bien la seule raison qui me donnerait envie de m'installer à Paris !!
- Scandalous
- Official Member
- Messages : 1474
- Enregistré le : 24 décembre 2006, 18:49
- fan depuis : 1999
Idem. ^^
Snoop Scratchy Scratch engage la crème de la scène rap new-yorkaise : White MC Wammy, Knock Dumb Dumb Hunter, et le DJ des Would It Fuck My Sister. La production est signée par la méga-star du gangsta rap, Jabbur MC Touchy Touch.
MC WARRIORS 4 LIFE
MC WARRIORS 4 LIFE
-
- Official Member
- Messages : 994
- Enregistré le : 27 juillet 2007, 14:41
- Localisation : Paris
Très bonne interview, mais j'ai l'impression de lire les mots du journaliste plus que ceux de Prince. En temps normal, il est beaucoup moins clair et concis, toujours à jouer de double sens, tandis que là...
- reflection
- Official Member
- Messages : 2790
- Enregistré le : 10 juin 2005, 23:33
- fan depuis : 1986
- Localisation : RENNES
exactement la meme impression que toi....serait ce bien lui?
" il a mis du beatles sur du funk, c'est ça la grande idée' bashung
-
- Official Member
- Messages : 600
- Enregistré le : 23 juillet 2009, 10:43
- fan depuis : 1992
- Localisation : Somewhere Here On Earth
Le journaliste a pris des notes et retranscrit, donc la prose est plus celle du journaliste que celle de Prince. Mais les idées sont là. Prince est dans une période heureuse, il est libre et aimé. Il s'est battu pour sa liberté et ça semble enfin payer. Il à l'air serein, apaisé. Ça fait plaisir.
La réponse à la question sur MJ est effectivement royale...
La réponse à la question sur MJ est effectivement royale...
Sometimes it snows in April
Sometimes I feel so bad, so bad
Sometimes I wish life was never ending, and all good things, they say, never last
Sometimes I feel so bad, so bad
Sometimes I wish life was never ending, and all good things, they say, never last
- Harry
- Official Member
- Messages : 1508
- Enregistré le : 27 octobre 2002, 20:06
- fan depuis : 1986
- Localisation : Elsass
Rien de bien nouveau dans cette interview (si ce n'est l'interview elle-même).
On y trouve le Prince que l'on connait, toujours dans sa vision spirituelle du monde.
Apparemment, c'est dans sa manière d'exprimer sa foi qu'il trouve un sens à sa vie.
A le lire ainsi, on peut avoir l'impression qu'il assume assez bien son passé. Pourtant dans les faits il censure toujours certaines de ses œuvres...
On y trouve le Prince que l'on connait, toujours dans sa vision spirituelle du monde.
Apparemment, c'est dans sa manière d'exprimer sa foi qu'il trouve un sens à sa vie.
A le lire ainsi, on peut avoir l'impression qu'il assume assez bien son passé. Pourtant dans les faits il censure toujours certaines de ses œuvres...
"Si vous le voulez, alors ce ne sera pas un rêve"... T. Herzl
Merci beaucoup pour le document
Let go, Let God
-
- Official Member
- Messages : 24
- Enregistré le : 20 juillet 2009, 21:51
- Localisation : Boulogne Billancourt
Et l'article des Inrocks sur sa semaine parisienne. Pas totalement négatif pour une fois, même si certaines interprétations sont franchement du domaine du fantasme ou de la psy de bistrot ( maman...etc). A vous de juger
http://www.lesinrocks.com/musique/musiq ... dassaut%2F
Bon c'est pour info, et c'est d'ailleurs peut-être pas le meilleur endroit pour le poster, mais voila, c'est fait...
Cheers,
http://www.lesinrocks.com/musique/musiq ... dassaut%2F
Bon c'est pour info, et c'est d'ailleurs peut-être pas le meilleur endroit pour le poster, mais voila, c'est fait...
Cheers,
- funkygemini69
- Official Member
- Messages : 978
- Enregistré le : 04 juin 2008, 18:17
- Localisation : bel air
un post tres interessant ...
et pour une fois heureux que les journalistes aient posés des questions qui valent le coup ....ils ont eu de vrais reponses .
prince n a jamais aimé les interviews de peur d etre piégé par les medias
mefiant il a essayé des les controller en cultivant une part de mystere(controversy)
...."ecoutez tout est dans ma musique"..!!!
la vu son experience il a l 'air decidé d'assumer son role de "porte parole"
impliqué dans son combat contre l 'industrie du disque ...
il represente aussi politiquement et culturellement sa communauté et egalement les artistes ..
qui sont assez degouté de la tournure des evenements depuis le debut des années 90....
oui il a raison l age d'or des musiciens est bel et bien derriere nous...
en esperant que l independance artistique gagnera a la fin...!!!!!
gardons la foi ...dans l integrité artistique ...
laissons l art "jetable" aux arrivistes et aux usurpateurs....
il a raison de mentionner que beaucoup d artistes sont mort dans la pauvreté et l indifference la plus totale ....
(cf beaucoup de bluesmen pillés et escroqués .....quelques sous pour leur acheter des morceaux ..argent vite gaspillé dans les femmes l alcool et la drogue ...hendrix n a jamais lu ses contrats jusqu a la fin ,il signait juste ...et mozart est mort seul accompagné a la fosse commune par un chien .....et .que dire de van gogh?????)
et pour une fois heureux que les journalistes aient posés des questions qui valent le coup ....ils ont eu de vrais reponses .
prince n a jamais aimé les interviews de peur d etre piégé par les medias
mefiant il a essayé des les controller en cultivant une part de mystere(controversy)
...."ecoutez tout est dans ma musique"..!!!
la vu son experience il a l 'air decidé d'assumer son role de "porte parole"
impliqué dans son combat contre l 'industrie du disque ...
il represente aussi politiquement et culturellement sa communauté et egalement les artistes ..
qui sont assez degouté de la tournure des evenements depuis le debut des années 90....
oui il a raison l age d'or des musiciens est bel et bien derriere nous...
en esperant que l independance artistique gagnera a la fin...!!!!!
gardons la foi ...dans l integrité artistique ...
laissons l art "jetable" aux arrivistes et aux usurpateurs....
il a raison de mentionner que beaucoup d artistes sont mort dans la pauvreté et l indifference la plus totale ....
(cf beaucoup de bluesmen pillés et escroqués .....quelques sous pour leur acheter des morceaux ..argent vite gaspillé dans les femmes l alcool et la drogue ...hendrix n a jamais lu ses contrats jusqu a la fin ,il signait juste ...et mozart est mort seul accompagné a la fosse commune par un chien .....et .que dire de van gogh?????)
“If you want to find the Secrets of the Universe, think in terms of Energy, Frequency and Vibration.” – Nikola Tesla
"Je préfère désormais ces formes de concert à la tournée traditionnelle, qui ne me tente plus."
On est pas près de le revoir en tournée...
En dépit de ses concerts à la Elvis au Grand Palais, sa perf du GJ m'a réchauffé le coeur.
On est pas près de le revoir en tournée...
En dépit de ses concerts à la Elvis au Grand Palais, sa perf du GJ m'a réchauffé le coeur.
- Alex (de Marseille)
- Official Member
- Messages : 2378
- Enregistré le : 20 septembre 2002, 09:11
- fan depuis : 1987
- Localisation : Les Boyers
- Contact :
Pdf de la une + page 27
http://sleevographia2.free.fr/Images/LE ... 9-1-27.pdf
http://sleevographia2.free.fr/Images/LE ... 9-1-27.pdf