My name is....
Posté : 02 janvier 2018, 00:45
Bon ben voilà, en ce 1er Janvier 2018, j'ose enfin me présenter à vous.
Tout d'abord, meilleurs vœux à vous et vos proches pour cette année 2018.
Par où commencer ?
Le début de cette passion pour Prince a certainement commencé grâce à la BO du film Batman de Tim Burton en 1989.
J'avais alors 11 ans à peu près.
J'aimais simplement les chansons mais jusqu'au début des années 90, je n'ai pas eu d'album de lui.
A l'époque, il n'y avait pas le net et, essayer de glaner des infos et se tenir au courant de son actualité était un peu plus compliqué.
Il aura fallu attendre mes 14 ou 15 ans pour avoir mon premier album, qui devait être O(+>.
Et là, j'ai tout de suite accroché, une révélation...
S'en est suivi l'album come, The gold experience, emancipation, etc... jusqu'à son "départ" en avril 2016.
Il y a quelques albums qui m'ont échappé mais dès qu'un album "grand public" de lui sortait, je l'achetais sans réfléchir.
Il m'a accompagné de mon adolescence à ma vie d'adulte.
Une période importante dans la vie.
Il faisait partie intégrante de la mienne.
Avec sa disparition, un morceau de mon être est parti avec lui.
Celle de ce garçon, pas très sûr de lui, qui se réfugiait dans la musique de Prince pour s'évader du quotidien, pour l'accompagner et affronter les embuches d'une vie d'ado.
Alors oui, je n'ai jamais voulu ou éprouvé le besoin d'en parler ou de le partager avant.
C'était du domaine de l'intime...
Une passion qui m'appartenais, qu'on ose pas diffuser ou partager...
Et puis, il faut bien le dire, être fan de Prince est perçu par les "non-initiés" comme une bizarrerie.
Après son "départ", je voulais peut-être me rapprocher ou m’accrocher aux personne qui pouvaient ressentir la même chose que moi, qui ressentaient un manque profond...
Comme pour me réconforter en me disant que, ce que je ressens, je ne suis pas le seul à le ressentir...
Alors oui, mon regret sera de ne jamais l'avoir vu sur scène, mais il reste et restera dans mon cœur et mon esprit pour toujours.
Et puis sa musique et sa voix sont toujours là, avec nous.
Musicologyquement. Lionel.
Tout d'abord, meilleurs vœux à vous et vos proches pour cette année 2018.
Par où commencer ?
Le début de cette passion pour Prince a certainement commencé grâce à la BO du film Batman de Tim Burton en 1989.
J'avais alors 11 ans à peu près.
J'aimais simplement les chansons mais jusqu'au début des années 90, je n'ai pas eu d'album de lui.
A l'époque, il n'y avait pas le net et, essayer de glaner des infos et se tenir au courant de son actualité était un peu plus compliqué.
Il aura fallu attendre mes 14 ou 15 ans pour avoir mon premier album, qui devait être O(+>.
Et là, j'ai tout de suite accroché, une révélation...
S'en est suivi l'album come, The gold experience, emancipation, etc... jusqu'à son "départ" en avril 2016.
Il y a quelques albums qui m'ont échappé mais dès qu'un album "grand public" de lui sortait, je l'achetais sans réfléchir.
Il m'a accompagné de mon adolescence à ma vie d'adulte.
Une période importante dans la vie.
Il faisait partie intégrante de la mienne.
Avec sa disparition, un morceau de mon être est parti avec lui.
Celle de ce garçon, pas très sûr de lui, qui se réfugiait dans la musique de Prince pour s'évader du quotidien, pour l'accompagner et affronter les embuches d'une vie d'ado.
Alors oui, je n'ai jamais voulu ou éprouvé le besoin d'en parler ou de le partager avant.
C'était du domaine de l'intime...
Une passion qui m'appartenais, qu'on ose pas diffuser ou partager...
Et puis, il faut bien le dire, être fan de Prince est perçu par les "non-initiés" comme une bizarrerie.
Après son "départ", je voulais peut-être me rapprocher ou m’accrocher aux personne qui pouvaient ressentir la même chose que moi, qui ressentaient un manque profond...
Comme pour me réconforter en me disant que, ce que je ressens, je ne suis pas le seul à le ressentir...
Alors oui, mon regret sera de ne jamais l'avoir vu sur scène, mais il reste et restera dans mon cœur et mon esprit pour toujours.
Et puis sa musique et sa voix sont toujours là, avec nous.
Musicologyquement. Lionel.