Les films les plus trash de l'histoire du cinéma.

L'espace pour parler de cinéma, littérature, poésie, bds, théatre, danse .
Avatar du membre
AHOUA
Official Member
Official Member
Messages : 414
Enregistré le : 12 juillet 2011, 22:49

23 novembre 2011, 14:24

Je suis pas d'accord avec vous. Si je ne trouve pas baise-moi bon sur le plan cinématographique, j'ai aimé la démarche de Despente avec cet OFNI fait à l'arrache. Je suis honnête, c'est pas un film que je reverrai, mais rien que pour la censure et la volée de bois vert qu'elle s'est mangée à la sortie, je me range de son côté. le film est raté, mais la démarche d'avoir été au bout de son film punk me plait définitivement.
Et puis j'aime énormément le personnage :P
snaporaz
Official Member
Official Member
Messages : 2033
Enregistré le : 15 octobre 2009, 16:19
fan depuis : 1984
Localisation : PARIS et NICE

23 novembre 2011, 19:07

Désolé mais BAISE-MOI n'est pas un film PUNK. C'est juste du :caca: . Et quoi qu'on en dise,les punks savaient jouer de la musique ou tout au moins comprenaient assez bien la musique pour en faire quelque chose d'intéressant. Virginie Despentes n'a aucune idée de ce que c'est que le cinéma. Elle n'y connait rien,n'y comprend rien et, pire que tout, n'essaye pas de comprendre. Aucun talent,aucun savoir-faire, aucun travail et beaucoup de prétention. J'ai vu ce film il y a 2 ou 3 ans sur le cable bien après le scandale qu'il avait déclenché. Avant de voir ce film,j'appréciais plutôt Virginie Despentes dont j'aimais les papiers dans ROCK'N'FOLK même si je n'ai jamais lu un de ses romans. Moi aussi,je trouvais scandaleux que le film ait été victime ainsi de la censure. Mais après avoir vu le film, je me suis dit : "tout ça pour ça". 8| 8| 8| 8| 8| 8| J'ai même revu le film avec un copain pour se marrer. J'ai vu des milliers de films dans ma vie et BAISE-MOI est sans contestation possible le plus mauvais film que j'ai jamais vu. Un exploit retentissant, tout est à chier dans ce truc : les cadrages,les raccords,la lumière, le son, le montage, le scénario, les dialogues, les acteurs, les effets spéciaux ( le sang qui sort de la bouche de Patrick Eudeline par exemple :mdr3: ),etc.... Je ne comprends même pas que l'on en ait autant parlé à l'époque. Ce film n'est pas montrable et c'est finalement une bonne chose qu'il ait été censuré. Sinon n'importe quel couillon ou couillonne qui filme avec son téléphone portable pourrait exiger d'être diffusé sur grand écran. Virginie Despentes a peut-être du talent pour l'écriture,qu'elle reste donc dans son domaine de prédilection.
Je ne voudrais pas adhérer à un club qui m'accepte comme membre
GROUCHO MARX
Avatar du membre
Lénou
Official Member
Official Member
Messages : 314
Enregistré le : 31 janvier 2009, 14:10
Contact :

21 décembre 2011, 03:18

Lovesexy a écrit :Image
Pour l'avoir vu hier, je vous confirme que "A Serbian Film" a une place de choix dans cette rubrique. Probablemant peut-on le placer en haut de la pyramide, car en matière de trash, il va être difficile d'aller au delà. C'est clairement TRES TRES éprouvant, et particulièrement quelques scènes bien au delà de la limite du supportable pour le commun du mortel. Dont une qui est juste absolument traumatisante (je veux dire encore plus que les autres). Donc pour public TRES averti.
Et le pire c'est que cinématographiquement parlant, c'est plutôt pas mal fait, il y a un scénario et les acteurs sont bons...
Je viens de le voir, je suis loin d'etre insensible, mais je l'ai trouvé naze !
Le scénar jl'ai trouvé plutôt bof, la mise en scène très classique...
Aucun réalisme, trop prévisible ! C'est ce que j'en pense ...
CallMeDesire
Official Member
Official Member
Messages : 225
Enregistré le : 22 mai 2010, 01:10
fan depuis : 1984
Localisation : Terra

21 décembre 2011, 20:17

Ex ado fan de films gores du genre "Braindead, Reanimator...), je trouve certains des films trash que vous evoquez ici simplement dégueulasses, et je vais argumenter, car je ne vois pas bien ce que ces films apportent de positif sur le moral ou le psychisme de chacuns, à moins que se sentir mal soit un désir devenu populaire.
Je pense que des films de jeux de torture (car c'est le mot) à la SAW, Centripède etc. sont à la botte d'une dictature psychologique en marche depuis quelques années...
Je m'explique. Ils dégradent la situation d'individus dans leur chaire et leur psychisme, les poussent à se nier et finalement, à force de répétitions (formidable outil que de répétter la même chose horrible pour la faire admettre !), conduit (la société) à se soumètre totalement, ce qui favorise l'apathie ambiante et aident à faire sauter les ultimes verrous moraux fondamentaux qui séparaient l'homme de l'animal... ou pire, de la CHOSE. L'homme devient une "chose" facile à détruire et qui réclame même son auto-destruction : c'est typiquement le cercle vicieux de la victime qui réclame et défend son boureau.
Ce triste "dogme culturel" vous pouvez l'appliquer à n'importe quel système de dictature. Dans une société en crise et ou 1% des gens sont schyzophrènes (ce qui devrait augmenter avec la virtualisation), le jeu est dangeureux. Là où des films d'horreur comme Evil Dead, de violence "modérée" ou suggérée à la Scarface", excitent nos pulsions de peur, les films de "torture" actuels excitent nos pulsions de mort (de l'autre, de soi, des sentiments nobles (joie, gentillesse, bienveillance...)

Cette analyse, elle n'est pas nouvelle, et la situation actuelle de la "torture" physique et psychique a été anticipée depuis les années 50 (cf Orson Wells et Huxley en tête)! Tout comme les snuff movies qui emergeaient depuis le début des années 80. Ces années 80 qui ont vu apparaitre l'influence croissante de l'ARGENT sur les moeurs d'une société, et qui permet entre autre de financer des films (de plus en plus) dégradants qui pourons un jour si insufisament de personnes ne réagissent avec lucidité, permettre de transformer les individus en "choses" faciles à diriger et à détruire (psychiquement, physiquement, virtuellement).

Ce n'est pas une réaction contre ce sujet, mais un rappel de l'importance de l'impact que de tels sujets et films peuvent avoir sur nos valeurs, notre individualité propre, et de rappeller que nombre de réalistateurs n'ont pas tous les neurones très en place à la base, d'où la fameuse mention "réservé à un public averti", qui veut tout dire...
snaporaz
Official Member
Official Member
Messages : 2033
Enregistré le : 15 octobre 2009, 16:19
fan depuis : 1984
Localisation : PARIS et NICE

21 décembre 2011, 21:06

Le travelling serait-il une affaire de morale ?
http://simpleappareil.free.fr/lobservat ... es-rivette
Modifié en dernier par snaporaz le 22 décembre 2011, 02:18, modifié 2 fois.
Je ne voudrais pas adhérer à un club qui m'accepte comme membre
GROUCHO MARX
CallMeDesire
Official Member
Official Member
Messages : 225
Enregistré le : 22 mai 2010, 01:10
fan depuis : 1984
Localisation : Terra

22 décembre 2011, 00:24

Très intéressant, comme quoi dés les années 50 se profilait l'amoral...
« Voyez cependant, dans Kapo, le plan où Riva se suicide en se jetant sur les barbelés électrifiés : l’homme qui décide à ce moment de faire un travelling avant pour recadrer le cadavre en contre-plongée, en prenant soin d’inscrire exactement la main levée dans un angle de son cadrage final, cet homme n’a droit qu’au plus profond mépris ». Ainsi, un simple mouvement de caméra pouvait-il être le mouvement à ne pas faire. Celui qu’il fallait – à l’évidence - être abject pour faire.
Cependant, je parlais de fictions, le cas des tortures avérées et de la vision cinématographique de l'holocauste c'est une autre histoire, c'est LA limite que seul le style, la pudeur et l'humanité et le talent peuvent franchir (CF La Vie est Belle). Encore que, quand on lit cela :
Le metteur en scène est tenu d’affadir, pour que ce qu’il ose présenter comme la « réalité » soit physiquement supportable par le spectateur, qui ne peut ensuite que conclure, peut-être inconsciemment, que, bien sûr, c’était pénible, ces Allemands, quels sauvages, mais somme tout pas intolérable, et qu’en étant bien sage, avec un peu d’astuce ou de patience, on devait pouvoir s’en tirer. En même temps, chacun s'habitue sournoisement à l'horreur, cela rentre peu à peu dans les mœurs, et fera bientôt partie du paysage mental de l'homme moderne ; qui pourra, la prochaine fois, s'étonner ou s'indigner de ce qui aura cessé en effet d'être choquant ?
On ne peut qu'être stupéfait par la similitude de propos de ces films "abjectes" avec les holocaustes.
Gaspard Elliott
Official Member
Official Member
Messages : 1234
Enregistré le : 01 juillet 2011, 03:24

26 décembre 2011, 15:42

Image
Requiescat in pace.
Avatar du membre
Alice de Nice
Modérateur
Modérateur
Messages : 2629
Enregistré le : 19 juillet 2007, 18:53
fan depuis : 1986
Localisation : Nissa la bella

26 décembre 2011, 19:49

CallMeDesire, je pensais que ton premier message était une blague, mais visiblement non... Que tu n'aimes pas les films évoqués ici, c'est un compte, je comprends très bien, mais chacun est libre de regarder ce qu'il veut. Que tu penses qu'ils sont dégueulasses et qu'ils n'apportent rien de positif sur les esprits, personne n'a dit le contraire (attention on parle ici de films trash, pas de simples films d'horreur, eux aussi accusés de tous les maux depuis X années). Que tu penses que ces films sont "à la botte d'une dictature psychologique en marche depuis des années.." et "conduisent la société à se soumettre totalement" et même que ces films sont, je cite: "dégradants qui pourons un jour si insufisament de personnes ne réagissent avec lucidité, permettre de transformer les individus en "choses" faciles à diriger et à détruire (psychiquement, physiquement, virtuellement)", pas de problème, même si je trouve le discours franchement douteux. Cela voudrait dire que les gens qui ont posté ici et qui regardent ces films (par plaisir, par défi ou juste par curiosité d'ailleurs) sont des espèces de larves bientôt transformés en "choses faciles" et bientôt "soumis à la dictature". C'est la société qui est trash CallMeDesire, le cinéma extrême n'est que le reflet du monde dans lequel nous vivons. Ces films existent depuis le début du siècle dernier. "Haxan, la sorcellerie à travers les âges" par exemple, film muet de 1922 posté par Gaspard Elliott dans le Quizz ciné récemment, était considéré comme trash à l'époque, interdit aux Etats-Unis et censuré un peu partout. Il contenait déjà des scènes de torture entre autres. Evidemment, aujourd'hui la vision de ce film prête à sourire, tant notre seuil de tolérance vis à vis de la violence s'est élevé, mais c'est justement l'une des choses intéressantes dans ce cinéma-là, c'est de savoir jusqu'où les réalisateurs peuvent aller. Dans un message plus haut, je disais que la limite serait bientôt atteinte, et qu'ils ne pourront bientôt plus aller très loin dans l'extrême. Mais on disait déjà ça dans les années 80 donc bon...
Contrairement à ce que tu dis ces films bénéficient en général de très petits budgets, les réalisateurs les financent souvent avec leurs propres deniers, alors "l'influence croissante de l'argent à partir des années 80 qui permet de financer ces films", euh pas vraiment non. Le but de ces films est d'envoyer bouler le plus possible le politiquement correct et de transgresser tous les tabous.
Evidemment que l'horreur s'insinue partout et que les gens ne sont plus choqués par rien aujourd'hui, on vit quand même une époque où on congèle les nouveaux nés, où on met des enfants dans des machines à laver pour les punir. Et la tendance de demain? Le four à micro-ondes?
Concernant l'influence de ces films sur les esprits, c'est un peu facile non, d'accuser le cinéma de tous les maux? A ce moment-là, on peut dire aussi que le cinéma porno transforme les mecs en violeurs potentiels. Je n'ose même pas évoquer le porno hardcore et sm... J'ai un ami qui travaille dans la police, et je peux t'assurer que rien de ce qui est contenu dans les films cités ici ne s'apparente à l'horrible réalité dont il est témoin, pas au quotidien mais presque. Les films extrêmes sont un peu comme les manèges les plus gerbants à la foire, tu as le choix d'essayer ou pas. "Pour un public averti" pour moi, ça signifie être armé psychologiquement pour faire la différence entre le bien et le mal et entre la réalité et la fiction. Et ce n'est que du cinéma.

Que tu penses que le cinéma, les images, la fiction influencent à ce point les individus, pas de problème, c'est ton opinion, je la respecte totalement même si je ne la partage pas du tout. Par contre, quand j'ai lu ça, c'est là surtout que j'ai cru à une blague:
CallMeDesire a écrit :Ce n'est pas une réaction contre ce sujet, mais un rappel de l'importance de l'impact que de tels sujets et films peuvent avoir sur nos valeurs, notre individualité propre...
Excuse-moi mais on nage en plein délire. Ca veut dire que ce topic influence les valeurs et la moralité de ceux qui le lisent et qui y postent. Heureusement que j'ai demandé rapidement à ne pas poster de photos trop choquantes ici, parce que sinon... Eh bien il faut considérer que ce sujet est destiné à "un public averti", je n'aurais pas la place de l'ajouter au titre. :)
Avatar du membre
Lovesexy
Official Member
Official Member
Messages : 2353
Enregistré le : 28 novembre 2007, 01:51
Localisation : Dans le 78...

27 décembre 2011, 12:08

ça me fait penser à l'éternel débat sur les jeux vidéos qui sont soit-disant à l'origine de tous les maux de la Terre et de tous les passages à l'acte des malades mentaux :]
Dites à quelqu'un qu'il y a 300 milliards d'étoiles dans l'univers et il vous croira, dites lui que la peinture n'est pas sèche, et il aura besoin de toucher pour en être sûr.
Avatar du membre
AHOUA
Official Member
Official Member
Messages : 414
Enregistré le : 12 juillet 2011, 22:49

27 décembre 2011, 14:50

Pour ma part j'ai toujours pensé qu'au contraire le cinéma dit "trash" ou "extrême" pouvait être un bon défouloir, un déversoir face à la violence du quotidien. Ce sont nos sociétés qui sont malades, le cinéma qui utilise la violence hardcore, comme tout art ou moyen d'expression, n'est qu'un témoignage de la folie environnante, pas l'inverse.
Et comme d'habitude on désigne le doigt et non la lune. Après d'un côté tout dépend des intentions, du propos du film.Il faut savoir ce qu'on a dans la rétine. Un film reste un film. Si des réal veulent la faire façon bas du front (par exemple filmé façon snuff), personne n'a l'obligation d'adhérer, de regarder, encore moins d'être influencé. Quelqu'un qui pèterait les plombs après avoir regardé un de ces films n'est qu'une bombe à retardement à la base.
Moi ça me fait l'effet inverse. Je suis pas un féru de ciné extrême, cela dit je suis curieux donc j'essaye de voir les films qui proposent un sujet ou un traitement intéressant. Au mieux ça me secoue les tripes et me fait réfléchir, au pire je trouve ça naze et j'oublie vite. En aucun cas ça n'a éveillé une pulsion violente en moi, faut arrêter les clichés.
Je trouve la télé bien plus perverse dans ses intentions, les enjeux ne sont pas les mêmes et puisqu'on parle d'asservissement faudrait déjà regarder de ce coté. Et puis, est-il utile de le rappeler, ce genre de cinéma teste nos limites en tant que spectateurs. La violence du quotidien nous teste en tant qu'acteurs. Donc laissons les 3 bouts de peloches transgressives vu par une poignée de curieux tranquilles et penchons-nous plutôt sur les vrais responsables de la merde ambiante qui flinguent les esprits de façon massive autour de nous. Dans le réel.
CallMeDesire
Official Member
Official Member
Messages : 225
Enregistré le : 22 mai 2010, 01:10
fan depuis : 1984
Localisation : Terra

05 janvier 2012, 21:15

AHOUA a écrit :Pour ma part j'ai toujours pensé qu'au contraire le cinéma dit "trash" ou "extrême" pouvait être un bon défouloir, un déversoir face à la violence du quotidien. Ce sont nos sociétés qui sont malades, le cinéma qui utilise la violence hardcore, comme tout art ou moyen d'expression, n'est qu'un témoignage de la folie environnante, pas l'inverse.
Et comme d'habitude on désigne le doigt et non la lune. Après d'un côté tout dépend des intentions, du propos du film.Il faut savoir ce qu'on a dans la rétine. Un film reste un film. Si des réal veulent la faire façon bas du front (par exemple filmé façon snuff), personne n'a l'obligation d'adhérer, de regarder, encore moins d'être influencé. Quelqu'un qui pèterait les plombs après avoir regardé un de ces films n'est qu'une bombe à retardement à la base.
Moi ça me fait l'effet inverse. Je suis pas un féru de ciné extrême, cela dit je suis curieux donc j'essaye de voir les films qui proposent un sujet ou un traitement intéressant. Au mieux ça me secoue les tripes et me fait réfléchir, au pire je trouve ça naze et j'oublie vite. En aucun cas ça n'a éveillé une pulsion violente en moi, faut arrêter les clichés.
Je trouve la télé bien plus perverse dans ses intentions, les enjeux ne sont pas les mêmes et puisqu'on parle d'asservissement faudrait déjà regarder de ce coté. Et puis, est-il utile de le rappeler, ce genre de cinéma teste nos limites en tant que spectateurs. La violence du quotidien nous teste en tant qu'acteurs. Donc laissons les 3 bouts de peloches transgressives vu par une poignée de curieux tranquilles et penchons-nous plutôt sur les vrais responsables de la merde ambiante qui flinguent les esprits de façon massive autour de nous. Dans le réel.
Pour moi, le vrai défouloir c'est la réalité, dans l'intimité, justement. Pas offrir en pature à un public ses pulsions les plus malsaines. Que les flics voient "pire" dans la réalité, niveau sexe ou meurtres, ce n'est pas une raison pour se délecter de ce genre d'"activité" morbides sur grand écran devant des milliers, voir bien plus, de spectateurs.
Nous avons tous notre "côté obscure" et il n'est pas bien joli à regarder le yang de l'Homme depuis le moyen-âge, en particulier. J'aime assez le terme d'amoral et non d'imoral pour ce genre de "cinéma", qui s'aparent plus à de la branlette telle la musique trashcore metal (qui peut avoir ses qulités intrasèques), qu'au 7e art. Les limites seront-elles atteintes par des films qui montreraient des suiçides de malades mentaux ? J'y ai pensé en regardant un épisode de la brillantissime et imorale série The Misfits, l'autre jour. Et les gens aplaudissent, glaciaux comme des machines... ça fait froid dans le dos ! Mais c'est l'air du temps, comme vous dites. Donc soyons moutons vers l'abatoir, regardons ce que nous n'avons pas envie de regarder, "parceque c'est l'époque qui veux ça". Vice, fric, hyper violence numerisés... A ce rythme là, notre libre arbitre face à l'endoctrinement culturel est mal parti...
Désolé pour ces tirades, mais 2012 annonçant la fin d'un monde, autant dire ce qui nous pèse à nous, les âmes sensibles (je plaisante là, hein !).
A un ami qui m'avait presque convaincu de revoir SAW en entier... J'en ai pas envie, désolé !
Avatar du membre
sulimane
Official Member
Official Member
Messages : 1070
Enregistré le : 30 novembre 2005, 21:39
Localisation : paris

04 juillet 2014, 11:11

Maniac cop Maniac cop 2 Maniac cop 3 ou l' histoire d' un flic qui a rater sa scolarité.
Répondre

Retourner vers « Culture »