Yonnet, Sheila E & Prince au concert de Stevie Wonder
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Je vais faire des recherches pour trouver celui qui a récupérer son mediator... Perso j'ai récupérer ceux de Lenny Kravitz , il y a un an. Prince avait d'ailleurs assisté à son concert à Bercy.
Avec tout ce que j'ai lu sur l'alcool et la drogue, j'ai décidé d'arrêter de lire...
calhounsquare a écrit :je pensais qu'il était mécontent du son car au début on l'entend assez moyennement et ça s'améliore ensuite
au début oui il n'était pas au point et a ajusté quelque chose avec l'aide d'un guitariste.ccfunky a écrit :Je crois que le guitariste derrière lui branche le cable de sa guitare, non?
En tout cas à la fin, y a un p'tit veinard qui a récupérer son médiator
Mais la séquence à laquelle je fais allusion, c'est quand il a entamé son funky jam et l'expression de "fake surprise" assez visible sur grand écran
U must B a LIMOUSINE
- Azymuth
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pour moi le fan au qi de poisson rouge , je vois un mec joueur qui prends son pied des qu il touche un instrument, et son coté " c quoi ce son,bah c pourri" c vraiment pour deconner, c une image d ailleurs ca devient un rituel, il cultive ce qu on dit de lui "perfectionniste" d ailleurs ca nous fait pas mal jacquasser ce mec est un pro quoiqu on dise! ps: cathc ! manu et "sa fille" au café barge
http://troisa2.skyrock.com/
Cher "Papa qui a de quoi être fier", ton impression est la mienne, ou alors je m'exprime mal !Azymuth a écrit :pour moi le fan au qi de poisson rouge , je vois un mec joueur qui prends son pied des qu il touche un instrument, et son coté " c quoi ce son,bah c pourri" c vraiment pour deconner, c une image d ailleurs ca devient un rituel, il cultive ce qu on dit de lui "perfectionniste" d ailleurs ca nous fait pas mal jacquasser ce mec est un pro quoiqu on dise! ps: cathc ! manu et "sa fille" au café barge
cependant il a vraiment ajusté quelque chose hier, ce n'était peut-être que la sangle...
Purple kiss 2 U and your lovely daughter
U must B a LIMOUSINE
Article AGORAVOX de ce jour:
"Stevie Wonder, Prince et… Michael Jackson à Bercy !
A Bercy (1er juillet 2010, prix de la place : 73€*), on vient pour voir Stevie Wonder en concert, pour sa tournée européenne. Le show est rôdé : choristes sexy à souhait, saxophonistes jazzy, voix solaire et maestria musicale (clavier, harmonica) du grand Stevie. Celui-ci égrène les tubes avec facilité et, diantre, quels tubes ! Fingerstips (Part 2), Uptight (Everything’s Alright), My Cherie Amour, You Are The Sunshine Of My Life, Living For The City, Higher Ground, Sir Duke, Masterblaster (Jammin’), Do I Do, I Just Called To Say I Love You et j’en passe. Le bon vieux son de la Motown légendaire dans toute sa splendeur et coolitude. L’ambiance est là, ça balance pas mal à Paris, un parfum de samba plane même sur le concert, puis arrive le grand moment** : à l’entame du hit incontournable Superstition (1972), monte sur scène, pour un bœuf avec son pote Stevie, le grand, que dis-je, l’immense Prince ! Tout le monde debout à Bercy : le Kid de Minneapolis avec « Little Stevie Wonder », quel pied ! Manque plus que Michael Jackson à l’appel – allez, debout les morts et les Believers !
Voir sur scène Prince est toujours un régal. Chemise bleue à col blanc relevé, pantalon blanc classieux, solaires sur le nez, sourire aux lèvres, le Love Symbol se la joue sobre. Cherchant aucunement à voler le show, il accompagne le groove de la voix chaude et métallique de Stevie avec une funkytude jazzy qui nous enchante tous, via petites touches enlevées sur le clavier vintage de Wonder et, à la guitare, quelques riffs hendrixiens de haute volée venant se lover dans le gros son d’ensemble alimenté par des musicos afro-américains de gros calibre. C’est hénaurme. C’est cadeau. En gros, histoire d’être trivial, on a deux stars pour le prix d’une sur Cène, euh pardon, sur scène !
Deux réflexions me sont alors venues. D’une part, il se pourrait bien que Prince, superstar par excellence, soit en ce moment l’exemple même de la liberté artistique. Il se produit là où il veut et quand il le désire (on sent que c’est l’envie qui motive ses choix et non le tiroir-caisse) : un coup il est sur le Rocher de Monaco, ensuite sous la verrière du Grand Palais à Paname, puis bientôt dans les « arènes » d’Arras ; de plus, il fait la nique au système des majors qui se font du gras sur le dos des artistes : il autoproduit ses nouveaux disques et choisit lui-même ses moyens de diffusion (cet été, son nouvel album 20Ten* est proposé gratuit via l’achat de Courrier international) ; Prince montre aux jeunes musiciens du Net qu’il est possible de se faire entendre sans crouler sous les diktats des marchands de l’industrie culturelle : la donne a changé et Prince montre la voie, chapeau ! Marc-Edouard Nabe en a d’ailleurs parlé intelligemment dans Rock & Folk n°513, mai 2010, page 17 : « Au fur et à mesure de mes réflexions, je me suis aperçu que dans le livre, il y avait plein de métiers inutiles pour l’écrivain, qui ne servent qu’à ceux qui veulent gagner de l’argent sur son dos. On a cet exemple dans la musique avec Prince. Lui a tout compris. (…) Prince a voulu casser cette suprématie des majors et s’est posé la même question que moi, c’est-à-dire à quoi servent les majors, à part diffuser l’œuvre ? Je me sers d’Internet comme d’un outil de diffusion. Prince n’a plus besoin d’une maison de disques, je me passe d’un éditeur. » D’autre part, impossible de constater la fraîcheur d’un Prince (beau jeune homme de 52 ans) et d’un Stevie rechargé à bloc sur piles Wonder (à 60 ans, il roule parterre et monte sur son piano !) sans penser à la trajectoire mortifère du génial Michael Jackson mort prématurément à 50 ans. Celui-ci, à la différence des deux autres, s’est fait vampiriser par sa propre créature médiatique (King of Pop, Bambi, Wacko Jacko, Michael Jackpot, United Colors of Jackson) ; oubliant hélas sa nature humaine, de simple mortel, derrière les masques de sa célébrité planétaire. Tel un clin d’œil, sur scène, le titre jacksonien qu’a repris Stevie Wonder pour rendre hommage au frère Jackson, un an après sa mort, est… Human Nature. Tiens, tiens. Mettre en avant l’humain derrière les paillettes de la peoplelisation, le souffle revigorant de la liberté de création face au star-system mécanisé, voilà ce qu’ont fait Stevie, Prince et, en creux, Michael hier soir à Bercy. Merci à eux. Infiniment."
"Stevie Wonder, Prince et… Michael Jackson à Bercy !
A Bercy (1er juillet 2010, prix de la place : 73€*), on vient pour voir Stevie Wonder en concert, pour sa tournée européenne. Le show est rôdé : choristes sexy à souhait, saxophonistes jazzy, voix solaire et maestria musicale (clavier, harmonica) du grand Stevie. Celui-ci égrène les tubes avec facilité et, diantre, quels tubes ! Fingerstips (Part 2), Uptight (Everything’s Alright), My Cherie Amour, You Are The Sunshine Of My Life, Living For The City, Higher Ground, Sir Duke, Masterblaster (Jammin’), Do I Do, I Just Called To Say I Love You et j’en passe. Le bon vieux son de la Motown légendaire dans toute sa splendeur et coolitude. L’ambiance est là, ça balance pas mal à Paris, un parfum de samba plane même sur le concert, puis arrive le grand moment** : à l’entame du hit incontournable Superstition (1972), monte sur scène, pour un bœuf avec son pote Stevie, le grand, que dis-je, l’immense Prince ! Tout le monde debout à Bercy : le Kid de Minneapolis avec « Little Stevie Wonder », quel pied ! Manque plus que Michael Jackson à l’appel – allez, debout les morts et les Believers !
Voir sur scène Prince est toujours un régal. Chemise bleue à col blanc relevé, pantalon blanc classieux, solaires sur le nez, sourire aux lèvres, le Love Symbol se la joue sobre. Cherchant aucunement à voler le show, il accompagne le groove de la voix chaude et métallique de Stevie avec une funkytude jazzy qui nous enchante tous, via petites touches enlevées sur le clavier vintage de Wonder et, à la guitare, quelques riffs hendrixiens de haute volée venant se lover dans le gros son d’ensemble alimenté par des musicos afro-américains de gros calibre. C’est hénaurme. C’est cadeau. En gros, histoire d’être trivial, on a deux stars pour le prix d’une sur Cène, euh pardon, sur scène !
Deux réflexions me sont alors venues. D’une part, il se pourrait bien que Prince, superstar par excellence, soit en ce moment l’exemple même de la liberté artistique. Il se produit là où il veut et quand il le désire (on sent que c’est l’envie qui motive ses choix et non le tiroir-caisse) : un coup il est sur le Rocher de Monaco, ensuite sous la verrière du Grand Palais à Paname, puis bientôt dans les « arènes » d’Arras ; de plus, il fait la nique au système des majors qui se font du gras sur le dos des artistes : il autoproduit ses nouveaux disques et choisit lui-même ses moyens de diffusion (cet été, son nouvel album 20Ten* est proposé gratuit via l’achat de Courrier international) ; Prince montre aux jeunes musiciens du Net qu’il est possible de se faire entendre sans crouler sous les diktats des marchands de l’industrie culturelle : la donne a changé et Prince montre la voie, chapeau ! Marc-Edouard Nabe en a d’ailleurs parlé intelligemment dans Rock & Folk n°513, mai 2010, page 17 : « Au fur et à mesure de mes réflexions, je me suis aperçu que dans le livre, il y avait plein de métiers inutiles pour l’écrivain, qui ne servent qu’à ceux qui veulent gagner de l’argent sur son dos. On a cet exemple dans la musique avec Prince. Lui a tout compris. (…) Prince a voulu casser cette suprématie des majors et s’est posé la même question que moi, c’est-à-dire à quoi servent les majors, à part diffuser l’œuvre ? Je me sers d’Internet comme d’un outil de diffusion. Prince n’a plus besoin d’une maison de disques, je me passe d’un éditeur. » D’autre part, impossible de constater la fraîcheur d’un Prince (beau jeune homme de 52 ans) et d’un Stevie rechargé à bloc sur piles Wonder (à 60 ans, il roule parterre et monte sur son piano !) sans penser à la trajectoire mortifère du génial Michael Jackson mort prématurément à 50 ans. Celui-ci, à la différence des deux autres, s’est fait vampiriser par sa propre créature médiatique (King of Pop, Bambi, Wacko Jacko, Michael Jackpot, United Colors of Jackson) ; oubliant hélas sa nature humaine, de simple mortel, derrière les masques de sa célébrité planétaire. Tel un clin d’œil, sur scène, le titre jacksonien qu’a repris Stevie Wonder pour rendre hommage au frère Jackson, un an après sa mort, est… Human Nature. Tiens, tiens. Mettre en avant l’humain derrière les paillettes de la peoplelisation, le souffle revigorant de la liberté de création face au star-system mécanisé, voilà ce qu’ont fait Stevie, Prince et, en creux, Michael hier soir à Bercy. Merci à eux. Infiniment."
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Moi j'ai super apprécié quand Prince sert Stevie dans ses bras... une photo de ce moment ?
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J'ai récupéré celui du Grand Journal ainsi que la baguette de la batteuse.Laure73 a écrit :Je vais faire des recherches pour trouver celui qui a récupérer son mediator... Perso j'ai récupérer ceux de Lenny Kravitz , il y a un an. Prince avait d'ailleurs assisté à son concert à Bercy.
Il y a le Love Symbol dessus, c'est systématique sur tous ses médiators ?
- raphy
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je ne sais pas de quel incident vous parlez mais au debut en effet la guitare n'etait pas branché. Le cable etait un peu court, Prince s'avance et il n'est plus branché. On voit d'ailleurs quelqu'un qui lui rebranche ensuite..CathC a écrit :Cher "Papa qui a de quoi être fier", ton impression est la mienne, ou alors je m'exprime mal !Azymuth a écrit :pour moi le fan au qi de poisson rouge , je vois un mec joueur qui prends son pied des qu il touche un instrument, et son coté " c quoi ce son,bah c pourri" c vraiment pour deconner, c une image d ailleurs ca devient un rituel, il cultive ce qu on dit de lui "perfectionniste" d ailleurs ca nous fait pas mal jacquasser ce mec est un pro quoiqu on dise! ps: cathc ! manu et "sa fille" au café barge
cependant il a vraiment ajusté quelque chose hier, ce n'était peut-être que la sangle...
Purple kiss 2 U and your lovely daughter
Bon évidemment M. Nelson était absent pour raisons professionnelles dans le nord de l'Europe. Toutefois au comptoir d'un bar autour des arènes de Nîmes la rumeur courait sur sa présence.
Il va de soi que je me permis de démentir la rumeur grâce aux infos glanées de par le forum.
Sinon M. Wonder est touchant d'humanité et son show fut un grand moment.
La version de Superstition de ce soir manqua toutefois un peu de peach niveau guitare.
Il va de soi que je me permis de démentir la rumeur grâce aux infos glanées de par le forum.
Sinon M. Wonder est touchant d'humanité et son show fut un grand moment.
La version de Superstition de ce soir manqua toutefois un peu de peach niveau guitare.
miezul1 a écrit :http://www.youtube.com/watch?v=OUKA7usm4C0Jimipaisley a écrit :Vivemment les vidéos de ça !
La même chose à Nîmes s'il vous plait dimanche soir.
Merci par avance, madame et messieurs.
YouTube, c'est pas téléchargeable directement.lovesigne a écrit :HEY LE MODO tu peux donner la différence entre ce que j'ai mis et le lien youtube
Prince n'a pas 'taquiné' les sites avec des liens YT jusqu'à présent.
« Sans musique, la vie serait une erreur »
Friedrich Nietzsche 'Crépuscule des idoles' ©1888
Friedrich Nietzsche 'Crépuscule des idoles' ©1888