20 février 2010, 18:01
Chak !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Si j'étais motivé pour assister à une soirée tribute 2 P, j'étais assez dubitatif quand à la configuration du "Petit journal Montparnasse" et le fait d'assister assis à un concert de musique qui "bouge", et pourtant j'y suis allé, ne serait-ce que pour y retrouver avec plaisir la schkopi crew.
Au final, j'ai passé une excellente soirée.
J'ai tout d'abord eu grand plaisir à retrouver cette fameuse schkopi crew, ceux que je connaissais et ceux que j'ai découvert : partager ainsi sa passion pourpre est toujours un vif plaisir.
Pour le show himself, j'ai vraiment été gêné par le fait de rester assis (sur le premier set) séparé de la scène et de l'ultra-mini dancefloor par des rangées de tables version banquet. Néanmoins, j'ai pris un certain plaisir à écouter un premier set composé de hits des 80's, pluto bien ionterprétées par un groupe imposant comprenant Morgan le lead singer, les deux choristes brunes élémgamment habiléles de noir, les deux clavier dont le classieux Jay Murphy, le bassiste, le guitariste, le batteur et surtout cette jolie section de cuivres agencée façon "Dalton". Un vrai plaisir d'entendre "Housequake" !
A l'instar du "All day all night", repris en choeur hier, dès le premier set, la "Purple house" a proposé un premier set avec ces tubes 80's comme pour les concerts du Grand Palais (avec un "Uptown qui m'a fait très plaisir"), avant de se lancer dans un deuxième set plus "aventureux" et très groove entamé, dans un esprit "Cigale 2009", pour un brûlant "Ol' skool company" et une dance party jalonnée par un puissant "3121", et un "Love bizarre" qui m'ont permis de bien m'éclater une fois debout avec un espace libre pour "bouger danser" non loin du comptoir.
Les musiciens ont pris un vif plaisir à jouer, s'appuyant pour le second set sur un public plus réceptif et, peut être le vin aidant, plus festif.
Lorsque le "Purple house" se reproduira live avec une salle dotée d'un vrai dancefloor, cela sera encore plus fun et funky.
Après le set, ben, comme d'hab, une mini schkopi reunion, toujours aussi conviviale, prit forme et dura jusqu'à ce que nous soyons les derniers à quitter le bâtiment. Quand je dis derniers, ce n'est pas seulement à cause des clients, j'ai bien cru que nous allions y passer toute la nuit.
J'ai adoré ces discussions, ces découvertes, les anecdotes sur les concerts de Rotterdam 2002, le "j'ai presque failli voir ce concert à Washington". Du bonheur.
Merci à la "Purple house", aux schopiteux girls and boys, et, plus particulièrement, chez les girls, à purple Catherine, sa passion et son sourire, ainsi qu'à l'agent secret purple blonde vêtue de black (nom de code Lodger), qui a eu le bon goût d'apporter son love symbol tambourin et une intense purple vibe au tout devant de la scène sur "3121".
Merci à toutes et à tous et rendez-vous la semaine prochaine à la Cinemathèque pour "La dernière séance" sans Eddy Mitchell mais featuring Prince.